Archives par étiquette : atelier de torréfaction

Les Cafés Reck une Entreprise Eco-Citoyenne…

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Une Entreprise citoyenne se développe en intégrant dans ses choix économiques la dimension collective et le respect de ce que nous offre la Nature.

Cafés Reck Pousse de caféiersNous nous engageons au quotidien à mener nos activités de manière la plus responsable possible et à gérer nos relations avec nos clients, nos collaborateurs, nos fournisseurs, nos partenaires avec intégrité et transparence.

 

En harmonie avec les valeurs de notre entreprise, le respect des personnes, la préservation des ressources naturelles et le choix de la qualité, nous avons investi dans un outil de fabrication de pointe et restons à chaque instant en quête d’innovation.

 

–       Commerce Responsable et équilibré : A la rencontre de chaque planteur nous établissons avec eux des relations commerciales équilibrées qui reposent sur la confiance et le respect mutuel veillant à une juste rétribution. Nous agissons activement pour un environnement de travail sain et sûr dans les plantations. D’autre part nous favorisons les plantations de café en Agriculture raisonnée.

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–       Circuits courts : A chaque fois que c’est possible nous choisissons des fournisseurs locaux. Notre premier choix est Alsacien et Rhénan puis nous élargissons le cercle de nos fournisseurs pour trouver les bons partenaires. Toute notre production est en Alsace.

–       Emballage Eco Responsable :

Nous avons substitué l’aluminium de nos paquets de cafés 250g  des boutiques.

Tous nos cartons sont fabriqués en Alsace avec comme objectif d’éviter la dégradation des ressources naturelles par la protection des forêts par exemple et avec le label gestion forestière responsable, soit un arbre coupé un arbre planté pour nos boîtes de capsules.

 

–       Des capsules Bio, Made in France, Made in Alsace, et Eco responsable : En produisant en Alsace une capsule de café hermétique à l’air et à l’humidité nous avons réussi à supprimer le suremballage individuel de la capsule et réduit de 40% le volume des boîtes.

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Nous avons aussi élaboré pour une commercialisation courant 2016 une capsule entièrement bio et compostable.

–       Les conditions de travail : Nous portons une attentions particulière à l’amélioration des conditions de travail de nos collaborateurs en privilégiant leur bien-être par un lieu de travail agréable, convivial et accueillant mais aussi en favorisant leur développement personnel avec des formations régulières.

Nous agissons activement dans  l’intégration des jeunes et l’insertion de travailleurs handicapés.

–       Empreinte Carbonne : Nous optimisons nos tournées de livraison et nos interventions techniques avec un logiciel cartographique et une géolocalisation de nos véhicules. Nous expédions, à chaque fois que c’est possible, par camion complet.

–       Recyclage des déchets et Energie renouvelable : Notre atelier de torréfaction est équipé d’un système de récupération des pellicules de café qui se détachent du grain lors de sa torréfaction. Cette pellicule sera compressée puis recyclée en compost pour la fabrication d’électricité verte. D’autre part  nous produisons sur place notre propre azote de conservation.

–       Recyclage des déchets et Respect de l’environnement : Notre atelier de Torréfaction est équipé d’un brûleur de fumées permettant des rejets propres. Nous trions scrupuleusement nos déchets.

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– Recyclage des matériaux : Nous utilisons les vieilles palettes pour réhabiliter nos murs, nos meubles, nous envoyons nos sacs de jutes de cafés verts à des jardiniers pour la conception de pot de fleurs coffee bag, des designers, des artistes et nous essayons de redonner une seconde vie à nos matériaux usagés.

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Nous collectons les livres de nos écoliers Alsaciens lors des visites scolaires pour les écoliers des plantations au quatre coins du monde.

http://www.reck.fr

 

Le boom du café en capsules…

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Capsules cafés Reck

On boit désormais plus de café en dosettes que moulu

 L’année 2016 devrait marquer un tournant sur le marché du café : les dosettes représenteront plus de ventes que le café moulu.

300.000 tonnes par an, c’est l’équivalent de la consommation de café en France. Ce marché, dix fois supérieur à celui du thé, est en pleine mutation. Le conditionnement du café évolue en effet au profit des dosettes depuis les années 2006-2007. Et alors que de plus en plus de Français se laissent séduire par les capsules, elles sont sur le point de dépasser le traditionnel café torréfié.

La grande distribution veut permettre le « tout dosette ». Avec une hausse moyenne des ventes de capsules de 15% chaque année, la bascule semble désormais inévitable : d’ici la fin de l’année 2016, les capsules vont passer devant le café moulu que l’on achète au supermarché. Un changement d’habitudes que l’on constate également de plus en plus dans les magasins où les étalages de capsules n’en finissent pas de s’agrandir. Cette année, ils sont encore en hausse de 2 mètres. Surtout, les fabricants cherchent à convaincre tous les amateurs en proposant désormais des cafés « spécial petit déjeuner », moins corsés que les autres pour remplacer le traditionnel bol de café filtre du matin. « On essaie aujourd’hui de développer la dosette sur le petit déjeuner avec des offres XXL sur de nouvelles saveurs pour pousser les gens à arrêter la cafetière filtre et retourner à la dosette tout usage », explique Valérie Locci, de la société IRI, spécialiste de la grande distribution.

Des grands crus en dosette. Mêmes les plus réfractaires, les puristes du café ont fini par s’y mettre, tant les habitudes de consommation des Français ont changé. « Ce n’était pas évident comme démarche. La capsule peut être considérée comme une hérésie, ça coûte très cher, il y a beaucoup de matière perdue… Mais on a pensé que les gens qui ont des machines capsules avait aussi le droit d’avoir des beaux cafés », justifie Christophe Servell qui dirige Terres de Café, des magasins spécialisés dans les grands crus.

« C’est tellement répandu dans les foyers que l’on ne peut pas l’ignorer donc on a fait nos capsules », conclut-il. Les chiffres sont d’ailleurs spectaculaires : en 2012, Terres de Café avait vendu 200.000 capsules, cette année, il est certain de dépasser les 2 millions.

 

Les capsules de Cafés Reck…un produit made in Alsace

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SHOPPING – Strasbourg

Des capsules de café d’ici

Les puristes s’en détournent mais, dans nos cuisines et bureaux, café est devenu synonyme de capsules. Les torréfacteurs locaux l’ont compris, qui proposent désormais des produits « made in Strasbourg».

Reck ou Sati face à Nespresso : le géant suisse a quelques milliards de capsules d’avance, mais l’essentiel est de proposer une alternative locale.  Photo DNA - J.-C. DornReck ou Sati face à Nespresso : le géant suisse a quelques milliards de capsules d’avance, mais l’essentiel est de proposer une alternative locale. Photo DNA – J.-C. Dorn

D’un côté, le portrait séduisant de George C. en vitrine, du personnel au look inspiré par la star un soir de cérémonie des Oscars, des agents de sécurité, la foule et un décor très intrigant pour qui débarquerait des années 1990 directement en 2016. De l’autre, des capsules de café sous cloche de verre, en devanture, un large comptoir, des vendeurs en tablier et quelques clients savourant l’odeur du café fraîchement moulu. Vous êtes rue de la Mésange, au centre-ville de Strasbourg, où seul un parfumeur sépare l’enseigne Nespresso de la boutique Reck.

« Elles sont un peu meilleures que la concurrence et, en plus, produites localement »

La marque strasbourgeoise a investi un million d’euros dans une ligne de production installée au Port-du-Rhin, avant de lancer, il y a plus d’un mois, sa gamme de cafés en capsules. Précédemment, ces produits ont aussi été testés par plusieurs centaines d’internautes recrutés via Facebook (DNA du 16 novembre 2015).

Stéphane, un Strasbourgeois de 40 ans, a découvert les capsules Reck il y a dix jours, et revient déjà se ravitailler : « Elles sont un peu meilleures que la concurrence et, en plus, produites localement. Du coup, nous avons décidé de les adopter. » Alexandra et Sébastien, un couple de Strasbourgeois, n’ont pas renoncé à l’achat d’autres marques. Ils se réjouissent surtout de disposer d’un choix plus large : « Nous n’aimons pas les cafés aromatisés à la vanille ou au caramel, mais nous aimons varier les cafés », expliquent-ils.

Pour l’heure, Reck propose six variétés de dosettes (dont un « déca » et un bio), mais la gamme s’étoffera dans les prochaines semaines. Si la majorité des clients franchit encore le seuil du magasin de la rue de la Mésange pour se ravitailler en grains, « les capsules marchent très bien : elles font venir une nouvelle clientèle et ont permis au magasin d’avoir une forte activité en décembre », juge Naoufal, l’un des vendeurs. Ici, les clients hésitants se voient offrir quelques dosettes de café, histoire de vérifier si elles sont adaptées à leur machine – seule la première génération d’appareils ne l’est pas.

Reck n’est pas le seul torréfacteur strasbourgeois sur ce marché. Sati, également installé au Port-du-Rhin, l’avait précédé dès 2014. Si Reck commercialise ses produits à travers ses deux boutiques de Strasbourg et Schiltigheim et auprès des professionnels, Sati est aussi bien présent dans les supermarchés. Forte de son avance, la marque propose dix variétés de cafés en capsules, dont trois aromatisées et trois autres issues de l’agriculture biologique et du commerce équitable. Côté prix, si l’on excepte les « grands crus », les deux Alsaciens sont moins chers que la multinationale suisse, avec 10 à 20 centimes de différence sur les paquets de dix capsules.

Le territoire de l’Eurométropole compte un troisième torréfacteur important : les cafés Henri, dont le site de production est implanté à Oberhausbergen. Mais le café en capsule, ce n’est pas la tasse de thé de Christine et Frédéric Steiner, à la tête de cette PME de 80 salariés. Celle-ci s’est lancée dans la distribution automatique, possède une bonne part du marché des hôtels, cafés et restaurants d’Alsace, vend ses produits en supermarché, ainsi que dans ses propres boutiques.

 

http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2016/01/09/des-capsules-de-cafe-d-ici

Cafés Reck… Les cafés connectés

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Entreprises – Les marques anciennes se convertissent au numérique Cafés connectés !

Mobiliser les nouvelles technologies à toutes les étapes de la production et de la commercialisation : c’est le pari de Thomas Riegert, gérant des Cafés Reck, à Strasbourg. Pour lui, le café connecté est un enjeu vital dans un monde hyperconcurrentiel.

Thomas Riegert, gérant des Cafés Reck, dans sa nouvelle usine connectée, au Port du Rhin à Strasbourg.  PHOTO DNA - Laurent RéaThomas Riegert, gérant des Cafés Reck, dans sa nouvelle usine connectée, au Port du Rhin à Strasbourg. PHOTO DNA – Laurent Réa

On le sent bien, dans l’énergie déployée pour convaincre, dans les grands gestes qui soulignent les explications, dans cette manière de prendre son interlocuteur à témoin puis de lui mettre dans les bras un paquet de café comme ultime argument : Thomas Riegert joue une partie importante, pour lui, pour son entreprise. L’avenir des Cafés Reck est en jeu. Et comme il est le gérant de la société, il est aussi le maître de la partie.

Il parle vite, beaucoup, avec passion, de son métier qu’il connaît sur le bout des doigts, de la production du grain à l’art subtil de la torréfaction et des mélanges. Et si l’on peine à le suivre, une évidence s’impose très vite : il a un projet longuement mûri, qu’il décline d’étape en étape, avec l’impatience d’un enfant qu’il n’est plus. Il a 45 ans aujourd’hui.

Sa conviction : le numérique permettra de garantir la pérennité de l’activité, de la maintenir et de la développer ici en Alsace, dans un secteur particulièrement exposé à la concurrence et, évidemment, à la mondialisation.

Il n’est pas certain que Thomas Riegert ait eu le temps, ou pris le temps, de lire les nombreux récents rapports qui détaillent les enjeux du numérique. Pourtant, depuis quelques années, il déploie un projet qui reprend point par point les préconisations des experts.

Une myriade de capteurs qui permettent de piloter la production

Les nouvelles technologies ouvrent de nouvelles perspectives dans l’optimisation et l’automatisation de la production. La toute nouvelle usine des Cafés Reck (2 000 m² et trois millions d’euros d’investissement), inaugurée en 2013 au Port du Rhin à Strasbourg, peut être pilotée par une seule personne, même si le choix a été fait, par exemple, d’un emballage à la main, en bout de chaîne. Une myriade de capteurs suivent les différentes étapes de la production, les écrans tactiles et les écrans d’ordinateur jalonnent l’usine ; 110 courbes de torréfaction ont été élaborées, elles modélisent la fabrication des cafés. Une partie de la maintenance de la chaîne de torréfaction peut se faire à distance, depuis l’Italie, où est installé le constructeur. Pour aller au bout de cette intégration, il faudrait cependant lever un obstacle : « Nous n’avons pas accès ici au très haut débit », fulmine Thomas Riegert, sauf à recourir à une solution dédiée à l’entreprise, proposée par les opérateurs et jugée trop chère.

Une démarche collaborative avec le consommateur

Les nouvelles technologies multiplient les canaux des échanges avec les clients.

Les réseaux sociaux permettent un dialogue direct avec le consommateur, qu’il est possible d’associer désormais à l’élaboration des produits mis sur le marché (lire ci-contre). Mais Thomas Riegert s’est attaché aussi, avec l’agence strasbourgeoise The Big Family, à créer une plateforme qui change la donne dans les relations aux clients : mycafe.fr , qui propose une production sur mesure, à la demande.

Dans le détail, c’est assez ingénieux : l’hôtelier ou le restaurateur qui a créé son compte sur la plateforme mycafe.fr (active depuis avril 2015) peut créer ses blends (mélanges), choisir sa courbe de torréfaction (claire, moyenne ou sombre), personnaliser l’emballage (jusqu’à l’étiquette). « Cet assemblage sur mesure s’adresse aux grands chefs, aux artisans de la gastronomie, à l’épicerie fine… », détaille Thomas Riegert. Du clic du client à la production du café, tout est interconnecté. Pour l’instant, cette production personnalisée est possible pour des commandes de 5 kilos et plus.

Le numérique, c’est aussi la mutualisation. Avec une quinzaine de professionnels, Thomas Riegert a créé la Compagnie des torréfacteurs. Son usine, à Strasbourg, dispose des locaux nécessaires pour accueillir les collègues de ce réseau, pour partager une expertise, pour partager l’outil de production ! Dans un monde qui cultive le secret de fabrication, c’est inédit.

Production automatisée et optimisée, usine collaborative et connectée, process interactifs. Au moment de faire l’inventaire des innovations, Thomas Riegert ajoute un dernier point : si le grain vient de l’autre bout du monde, les Cafés Reck ont recours pour le reste aux circuits courts, pour les emballages et les matières premières qui servent à la fabrication des capsules.

Reck est alsacien. Et compte bien le rester.

mycafe.fr

Le café d’Alsace… par Imaginalsace / Le Mag

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Très attendue sur la bière, la charcuterie ou même le foie gras, l’Alsace surprend davantage dès lors qu’on parle café. Et pourtant trois entreprises continuent de torréfier elles-mêmes des grains de café qu’elles sont allées sélectionner aux quatre coins du monde.

Reck, le torréfacteur « nouvelle vague »
Sur le port du Rhin, Thomas Riegert, qui dirige les cafés Reck, annonce la couleur : « Je suis un torréfacteur nouvelle vague : je valorise les terroirs et le travail des hommes. Les sacs que je reçois, je suis allé les choisir moi-même au Cameroun ou en Ethiopie. » Et ce nouvel état d’esprit gagne aussi l’investissement industriel : le tout nouvel atelier inauguré en 2014 est partagé avec une dizaine d’autres torréfacteurs de Paris, Lyon, Reims ou de Belgique, qui viennent ici brûler leurs grains de café… et échanger leurs expériences. Un état d’esprit auquel semble adhérer sa clientèle de bars et de restaurants, qui apprécient l’approche exigeante et innovante de ce café artisanal et alsacien.CAFERECKEmmanuel RENARD, Maître Torréfacteur / Cafés RECK

Sati : la marque au 30 000 tonnes de café/an
Toujours sur le port du Rhin, les Cafés Sati, fondés en 1906, produisent 30000 tonnes de café par an, dont 89% d’arabica. Car c’est ça la marque du café en Alsace : ici, comme chez les cousins germains de l’autre côté du Rhin, on préfère l’arabica d’Afrique de l’Est. Les grandes marques tricolores ont bien essayé de vendre du robusta comme de l’autre côté des Vosges : elles se sont cassé les dents et les consommateurs alsaciens sont restés fidèles à leurs torréfacteurs régionaux. Par goût pour l’arabica.

Henri, l’audace de l’export
De taille plus modeste, les Cafés Henri ne manquent pas d’audace pour autant : avec sa gamme Elsass Line vendue en coffret présentant un mélange de quatre arabicas provenant de trois continents différents, du thé, de la confiture et de la liqueur, le torréfacteur alsacien ose s’attaquer au grand export : la Corée du Sud, le Kazakhstan, la Mongolie. Christine Steiner, codirigeante de l’entreprise, qui court de l’Annula de Cologne aux plus grands salons de l’agro-alimentaire du Moyen-Orient, aime le répéter : « Notre développement passe nécessairement par l’international. »

http://lemag.imaginalsace.com/2014/06/30/les-cafes-dalsace/