Archives de catégorie : Société

Cafes Reck recrute un technicien SAV

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Cafés Reck recrute un Technicien SAV

Nous recherchons départements 67-68, un technicien (H/F) pour assurer l’installation, la maintenance et le service après-vente de machines à café professionnelles, de moulins et de chocolatières au sein d’un équipe jeune et dynamique.

Ce poste nécessite de la minutie et de l’autonomie ainsi qu’une formation en électrotechnique et mécanique. Le permis B est nécessaire, un véhicule de fonction étant mis à disposition.

Contactez-nous par mail en joignant votre CV : info@reck.fr

Cafés Reck recrute un agent d’entretien et de maintenance

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Cafés Reck recrute un agent d’entretien et de maintenance

Nous recherchons une personne (H/F) pour assurer le nettoyage et l’entretien de nos bureaux et de nos espaces verts sur notre site de Production au Port du Rhin à Strasbourg.

Ce poste nécessite de la rigueur, de la méthode et de la polyvalence dans une ambiance jeune et dynamique. Le permis B et la maîtrise des petits engins d’entretien sont nécessaires ainsi qu’une maîtrise des techniques d’hygiène et de sécurité.

Contactez-nous par mail en joignant votre CV : info@reck.fr

Cafés Reck recrute un Opérateur de Production

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Cafés Reck recrute un opérateur de production

A la recherche d’un(e) opérateur(trice) de production expérimenté(e) pour la conduite d’une nouvelle ligne entièrement automatisée de conditionnement de café, dans une ambiance jeune et dynamique.

Ce poste nécessite des notions de maintenance, une maitrise de l’informatique (ERP Pack microsoft) ainsi que des connaissances HACCP et IFS. Evolution prévue vers un poste à responsabilités avec encadrement et formation interne.

Contactez-nous par mail en joignant votre CV : info@reck.fr

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CAFÉS RECK EN QUÊTE DE GRAINS EXTRAORDINAIRES EN BOLIVIE PAR FRANCE 3

France 3 est parti avec nous en Bolivie à la recherche d’un café d’exception.

Une série de reportages retrace cette découverte d’un café bio aux couleurs de planteurs exceptionnels…

https://youtu.be/pmniBOBJBG8

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Cafés Reck, Artisan Torréfacteur, leader des cafés de spécialités en grains, moulu et en capsules, torréfie chaque jour dans son Atelier de Strasbourg les meilleurs cafés du Monde pour proposer aux consommateurs une expérience unique. Tous les produits sont fabriqués et certifiés 100% Made in Alsace.

 

Un engagement sans faille à l’origine et une relation privilégiée avec les planteurs, garantissent une expérience gustative et une traçabilité sans équivalent.

C’est cette expérience quotidienne que Reck propose au plus grand nombre dans les Cafés, Hôtels, Restaurants, les plus grandes tables étoilées, les épiceries fines, les boulangeries et évidemment dans la boutique historique au 8 rue de la Mésange à Strasbourg.

Une gamme dédiée, désormais disponible dans vos magasins de proximité, supers et hypermarchés en Alsace.

Pour appuyer cette démarche, la marque s’annonce en TV avec sa première campagne segmentée pour un annonceur alsacien menée par Novembre Creative Business Partner qui accompagne la stratégie de l’entreprise.

 

Thomas Riegert des Cafés Reck et Olivier Nasti du Chambard nous donnent des recettes prestigieuses au café…

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A écouter sur:

https://www.francebleu.fr/emissions/cuisine-ensemble-sur-france-bleu-alsace/alsace/cuisine-ensemble-avec-france-bleu-alsace-416

 

Lundi 29 juin 2020 à 10:10

Et si on se laissait séduire par une recette au café ?

le café
le café © Getty

Depuis sa découverte au quinzième siècle par les arabes, le café a beaucoup voyagé. On le consomme dans de nombreux pays à toutes les heures de la journée, serré ou allongé, noir ou au lait, avec ou sans sucre… mais le café ne se boit pas seulement : il se mange !

Certaines recettes au café sont devenues des incontournables de la cuisine, à l’image du fameux tiramisu italien, mais aussi dans un éclair, une bûche ou un moka. Il agrémente délicieusement une sauce en accompagnement d’un filet de saumon ou d’un filet mignon de veau.

Ce matin nous découvrons tous les mystères du café auprès de Thomas Riegert, directeur des Cafés Reck à Strasbourg

Toutes vos recettes au 03.88.25.15.15 dès 10h

Dossier : Récit de baladeur en Alsace

Récit de baladeur : les cafés Reck, une tradition à l’alsacienne

Par , France Bleu Alsace

Depuis plus d’un siècle, l’histoire des cafés Reck c’est une histoire de familles, mais aussi une histoire alsacienne. A l’occasion de la journée internationale du café, Thomas Riegert, son président, a accueilli Laure Basterreix au cœur de l’atelier du Port du Rhin à Strasbourg.

Échantillon de graines de café chez les cafés Reck à Strasbourg
Échantillon de graines de café chez les cafés Reck à Strasbourg © Radio France – Laure Basterreix

La Journée internationale du Café célèbre la diversité, la qualité et la passion de la filière café. Elle est l’occasion pour les amateurs de café de partager leur amour pour cette boisson et de soutenir les millions de caféiculteurs dont la subsistance dépend de cette culture aromatique. C’était donc l’occasion de rencontrer Thomas Riegert, artisan torréfacteur et président des cafés Reck, entreprise alsacienne incontournable dans le paysage de la production de café. Au cœur de l’atelier sont assemblées une soixantaine de sortes de café venues d’une trentaine de pays dans le monde. Des variétés travaillées, contrôlées et même comptées :

Un produit recherché au bout du monde et made in Alsace. ©Photo @cafesreck

 
Le café brut, avant sa torréfaction. ©Photo @cafesreck

Même si Thomas Riegert parcourt le monde à la recherche des meilleurs grains de cafés, la suite de la fabrication et de la production des cafés Reck est 100% alsacienne. Une torréfaction de qualité se fait en fonction de la nature du grain, de son origine, de sa variété botanique, de son taux d’humidité, et de sa densité. C’est tout cela qui est pensé dans l’atelier de torréfaction de Strasbourg, où chaque courbe de torréfaction sont travaillées spécifiquement.

Le processus de transformation des cafés Reck. ©Photo @cafesreck

Une partie des ateliers de torréfaction des cafés Reck au Port du Rhin © Radio France – Laure Basterreix

Après la cuisson, le café est ensuite immédiatement refroidi pour stopper cette dernière, et lui permettre de révéler ses caractéristiques gustatives et olfactives. Chez Reck, il y a 27 courbes de torréfaction de base, mais au final c’est plus d’une centaine qui sont utilisées. Afin de gérer de façon précise toutes ces torréfactions et maintenir la traçabilité, c’est un processus mécanique et numérique qui est utilisé dans l’atelier :

Une torréfaction motorisée et maîtrisée. ©Photo @cafesreck

La suite du processus d’emballage sera fait lui à la main avant de se retrouver entre celles des consommateurs. Au final, et évidemment, tout le but d’une torréfaction bien travaillée est de proposer le meilleur des goûts dans la tasse. Amateur ou non de café, la dégustation et la compréhension du produit c’est aussi tout un apprentissage :

Dégustation et éducation au café. ©Photo @cafesreck Au cœur de la boutique des cafés Reck à l’atelier du Port du Rhin à Strasbourg 

Vous retrouvez la boutique des cafés Reck au 8 rue de ma mésange à Strasbourg, ainsi que sur leur boutique en ligne et les réseaux sociaux.

Reck s’apprête à commercialiser des capsules de café… à composter dans son jardin

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ENVIRONNEMENT | Thomas Riegert, gérant des Cafés Reck. 

Pour le patron des cafés Reck, les capsules plastiques, qu’il commercialise depuis quatre ans, ont un meilleur bilan carbone que l’aluminium, quand bien même elles ne sont pas recyclées. Mais pour répondre à la pression sociétale, l’entreprise strasbourgeoise s’apprête à passer au printemps aux dosettes (vraiment) compostables.
Par Charlotte DORN03 déc. 2019 à 18:00 | mis à jour à 23:21 – Temps de lecture : 3 min
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Thomas Riegert mise maintenant sur les matières biosourcées pour ses dosettes du futur. Archives DNA

Ce n’est pas pour rien qu’en 2015, lorsque Thomas Riegert a lancé les Cafés Reck dans l’aventure des capsules , il a choisi le plastique — même si lui s’emploie à dire « fibre synthétique ». « On nous vend du marketing en disant que l’aluminium est recyclable à l’infini, mais sa fabrication est beaucoup plus énergivore. Ensuite, pour le récupérer, il faut de lourdes opérations, un chauffage à 500 degrés, puis on le retransporte pour aller dans une fonderie encore à 500 km, où on le refait chauffer… »

Le volubile patron strasbourgeois, qui fabrique ses capsules au Port du Rhin, rappelle aussi que, même si le café filtre est réputé plus écoresponsable, « dans les années 80, le premier consommateur de café, c’était l’évier : 30 % était jeté ».

« Si on ne regarde ce sujet-là que sous l’angle du traitement des déchets, on fait fausse route, plaide-t-il. Il faut regarder le bilan carbone. Il faut prendre en compte l’agriculture, le transport. L’impact de l’emballage, selon moi, ne représente que 20 %. »

À la fin du brevet Nespresso, quand le système aux milliards de dosettes vendues s’est ouvert, Reck a attendu pour lancer les siennes de pouvoir concevoir une capsule étanche, imperméable à l’air et à l’humidité, pour préserver la qualité de la mouture. L’artisan ne voulait pas proposer des capsules non étanches donc suremballées individuellement.

Le plastique n’a plus la cote

N’empêche, le plastique n’a plus la cote. Entre « la pression des réseaux sociaux » et « le lobby tellement fort de Nespresso », Thomas Riegert en est sûr : dans trois ans, le marché se partagera entre l’aluminium (même si pour lui, c’est le pire impact environnemental) et le compostable.

Son entreprise est prête. D’abord, parce qu’elle fabrique déjà des capsules biodégradables, pour l’artisan Cap Mundo. Ensuite, parce qu’elle travaille depuis un an sur un projet qui va encore plus loin. « J’ai un rêve : prendre la capsule [usagée] et, pour ceux qui ont un jardin, pouvoir la mettre au fond du jardin », confie le torréfacteur.

Au passage, il alerte sur un « greenwashing sympathique » : les marques qui affichent des dosettes « compostables » (souvent emballées individuellement dans du plastique) et qui « oublient » de dire qu’elles le sont seulement « dans des conditions industrielles ». Et non pas dans le cadre d’un compost domestique (à vérifier sur les labels ). La différence ? Une température constante de 60 °C dans le premier cas, qui garantit la décomposition en six mois, voire en trois. Dans un jardin, le tas ne chauffera pas au-delà de 25 °C.

C’est ce défi que Thomas Riegert veut relever. En mars 2020 devrait sortir sa « capsule barrière biosourcée et home compostable à 25 °C, à base de plantes et de canne à sucre ». Une gageure, quand on sait qu’il fait 85 °C dans la chambre d’extraction du café.

« Il faut arriver à une qualité parfaite. J’en suis tout près ! » s’enflamme-t-il. Mais il prévient : le bilan carbone sera l’équivalent de celui de sa capsule en plastique, pas meilleur. Parce que la canne à sucre, ça ne pousse pas encore en Alsace.