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Ce poste nécessite de la minutie et de l’autonomie ainsi qu’une formation en électrotechnique et mécanique. Le permis B est nécessaire, un véhicule de fonction étant mis à disposition.
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CAFÉS RECK EN QUÊTE DE GRAINS EXTRAORDINAIRES EN BOLIVIE PAR FRANCE 3
France 3 est parti avec nous en Bolivie à la recherche d’un café d’exception.
Une série de reportages retrace cette découverte d’un café bio aux couleurs de planteurs exceptionnels…
Depuis plus d’un siècle, l’histoire des cafés Reck c’est une histoire de familles, mais aussi une histoire alsacienne. A l’occasion de la journée internationale du café, Thomas Riegert, son président, a accueilli Laure Basterreix au cœur de l’atelier du Port du Rhin à Strasbourg.
La Journée internationale du Café célèbre la diversité, la qualité et la passion de la filière café. Elle est l’occasion pour les amateurs de café de partager leur amour pour cette boisson et de soutenir les millions de caféiculteurs dont la subsistance dépend de cette culture aromatique. C’était donc l’occasion de rencontrer Thomas Riegert, artisan torréfacteur et président des cafés Reck, entreprise alsacienne incontournable dans le paysage de la production de café. Au cœur de l’atelier sont assemblées une soixantaine de sortes de café venues d’une trentaine de pays dans le monde. Des variétés travaillées, contrôlées et même comptées :
Même si Thomas Riegert parcourt le monde à la recherche des meilleurs grains de cafés, la suite de la fabrication et de la production des cafés Reck est 100% alsacienne. Une torréfaction de qualité se fait en fonction de la nature du grain, de son origine, de sa variété botanique, de son taux d’humidité, et de sa densité. C’est tout cela qui est pensé dans l’atelier de torréfaction de Strasbourg, où chaque courbe de torréfaction sont travaillées spécifiquement.
Après la cuisson, le café est ensuite immédiatement refroidi pour stopper cette dernière, et lui permettre de révéler ses caractéristiques gustatives et olfactives. Chez Reck, il y a 27 courbes de torréfaction de base, mais au final c’est plus d’une centaine qui sont utilisées. Afin de gérer de façon précise toutes ces torréfactions et maintenir la traçabilité, c’est un processus mécanique et numérique qui est utilisé dans l’atelier :
La suite du processus d’emballage sera fait lui à la main avant de se retrouver entre celles des consommateurs. Au final, et évidemment, tout le but d’une torréfaction bien travaillée est de proposer le meilleur des goûts dans la tasse. Amateur ou non de café, la dégustation et la compréhension du produit c’est aussi tout un apprentissage :
ENVIRONNEMENT | Thomas Riegert, gérant des Cafés Reck.
Pour le patron des cafés Reck, les capsules plastiques, qu’il commercialise depuis quatre ans, ont un meilleur bilan carbone que l’aluminium, quand bien même elles ne sont pas recyclées. Mais pour répondre à la pression sociétale, l’entreprise strasbourgeoise s’apprête à passer au printemps aux dosettes (vraiment) compostables.
Par Charlotte DORN – 03 déc. 2019 à 18:00 | mis à jour à 23:21 – Temps de lecture : 3 min
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Ce n’est pas pour rien qu’en 2015, lorsque Thomas Riegert a lancé les Cafés Reck dans l’aventure des capsules , il a choisi le plastique — même si lui s’emploie à dire « fibre synthétique ». « On nous vend du marketing en disant que l’aluminium est recyclable à l’infini, mais sa fabrication est beaucoup plus énergivore. Ensuite, pour le récupérer, il faut de lourdes opérations, un chauffage à 500 degrés, puis on le retransporte pour aller dans une fonderie encore à 500 km, où on le refait chauffer… »
Le volubile patron strasbourgeois, qui fabrique ses capsules au Port du Rhin, rappelle aussi que, même si le café filtre est réputé plus écoresponsable, « dans les années 80, le premier consommateur de café, c’était l’évier : 30 % était jeté ».
« Si on ne regarde ce sujet-là que sous l’angle du traitement des déchets, on fait fausse route, plaide-t-il. Il faut regarder le bilan carbone. Il faut prendre en compte l’agriculture, le transport. L’impact de l’emballage, selon moi, ne représente que 20 %. »
À la fin du brevet Nespresso, quand le système aux milliards de dosettes vendues s’est ouvert, Reck a attendu pour lancer les siennes de pouvoir concevoir une capsule étanche, imperméable à l’air et à l’humidité, pour préserver la qualité de la mouture. L’artisan ne voulait pas proposer des capsules non étanches donc suremballées individuellement.
Le plastique n’a plus la cote
N’empêche, le plastique n’a plus la cote. Entre « la pression des réseaux sociaux » et « le lobby tellement fort de Nespresso », Thomas Riegert en est sûr : dans trois ans, le marché se partagera entre l’aluminium (même si pour lui, c’est le pire impact environnemental) et le compostable.
Son entreprise est prête. D’abord, parce qu’elle fabrique déjà des capsules biodégradables, pour l’artisan Cap Mundo. Ensuite, parce qu’elle travaille depuis un an sur un projet qui va encore plus loin. « J’ai un rêve : prendre la capsule [usagée] et, pour ceux qui ont un jardin, pouvoir la mettre au fond du jardin », confie le torréfacteur.
Au passage, il alerte sur un « greenwashing sympathique » : les marques qui affichent des dosettes « compostables » (souvent emballées individuellement dans du plastique) et qui « oublient » de dire qu’elles le sont seulement « dans des conditions industrielles ». Et non pas dans le cadre d’un compost domestique (à vérifier sur les labels ). La différence ? Une température constante de 60 °C dans le premier cas, qui garantit la décomposition en six mois, voire en trois. Dans un jardin, le tas ne chauffera pas au-delà de 25 °C.
C’est ce défi que Thomas Riegert veut relever. En mars 2020 devrait sortir sa « capsule barrière biosourcée et home compostable à 25 °C, à base de plantes et de canne à sucre ». Une gageure, quand on sait qu’il fait 85 °C dans la chambre d’extraction du café.
« Il faut arriver à une qualité parfaite. J’en suis tout près ! » s’enflamme-t-il. Mais il prévient : le bilan carbone sera l’équivalent de celui de sa capsule en plastique, pas meilleur. Parce que la canne à sucre, ça ne pousse pas encore en Alsace.
We chat with Daniela Capuano, who is one of the first coffee roasters ever to receive an award from Un des Meilleurs Ouvriers de France recognizing craftspeople.
BY PAULO PEDROSO
SPECIAL TO BARISTA MAGAZINE ONLINE
Cover photo courtesy of Daniela Capuano
Daniela Capuano is not only improving the quality of coffee in France, she’s conquering a country known for excellence and refinement in gastronomy. And to show that this recognition has no borders, she’s actually from Brazil.
For almost a century, the French National Education Ministry has recognized the excellence of craft workers through the Un des Meilleurs Ouvriers de France awards, also known as MOF. This year, for the first time, coffee roasters were honored as a competition category alongside chefs, confectioners, chocolate makers, and more than 200 other professionals. In this contest, the values and the professional skills of the competitors are recognized by their peers.
Achieving this lifelong title confers to the winning laureate a passport to an elite group of which the President of the French Republic is an honorary member. The award ceremony is followed, as tradition dictates, by a celebration at the Élysée Palace, the official presidential residence, in the presence of the current head of state, Emmanuel Macron. I talked with Daniela Capuano about winning the award, her background in roasting, and her journey through coffee in France.
Paulo Pedroso: What was your training and educational background in coffee roasting?
Daniela Capuano: My first contact with coffee roasting was in Belo Horizonte, Brazil, my homeland, around 2005, when I started working as a barista. I remember we used a Probatino 1kg coffee roaster. Then, I kept following the work of roasters whenever I could along my professional path. Even after moving to France in 2012 I returned to São Paulo, Brazil, one year later in order to join a profile roasting course with Isabela Raposeiras, from Coffee Lab, to go deeper on this process.
A few months later I went back to France and started roasting at L’arbre à Café, which had a 12kg Probat. It was founded by the French roaster Hippolyte Courty and I also worked there as a barista. Nevertheless, I took a new course by coffee expert Scott Rao in 2015, and today I am roasting on three types of Brambati equipment (120kg, 60kg, and 5kg). The courses have really helped me a lot, but I believe that the experience of roasting and the skill to reach a product of excellence is learned in large part through day-by-day practice.
The specialty-coffee movement is booming quickly in France, but it’s a recent phenomenon, isn’t it?
When I arrived in Paris in 2012, the specialty-coffee culture was just starting out, although there were some pioneers as La Cafeothèque, founded by a former ambassador of Guatemala in France, Gloria Montenegro. Coutume Café and Lomi Café had just opened their doors, and L’Arbre à Café ran only as a roasting brand for professional traders. But you could feel that things were warming up. Five years after that, this business reached a rapid growth, as well as the increasing of the knowledge searching by professionals and the consumers’ interest as well. Beyond Paris, where this growth is most visible, Bordeaux has also increased the supplying of fine coffee shops and roasters; other French cities are multiplying this movement like Nantes, Lille, Lyon, Marseille, and Strasbourg.
How do you evaluate the development of Brazilian beans and their presence in the global market share today?
Brazil is the largest world coffee producer, and our beans are usually found in the best blends around the world due to their sweetness and notes of caramel and citrus. The price of Brazilian coffee is also attractive when compared to other origins, and it can be advantageous for roasters, especially when they are an important part of their blends. Brazil has developed along the years the huge skill to produce high-quality beans and also customize a part of the production to specialty-coffee customers.
But, as a roaster and mainly as a Brazilian, I would love to see a faster development of terroirs coming from small batches like the great French wines. This Brazilian product is already around and reaching the high-end roasters, but in comparison with other countries on the top of the chain, our country still needs to increase its market share. At Café Reck, where I work today, Brazilian coffees represent our greatest volume. They are part of most of our blends, and customers love our single coffees based on beans from Bahia and Espirito Santo, which are the best sellers in our store.
ABOUT THE AUTHOR Paulo Pedroso is a Brazilian entrepreneur who is a regular contributor to several newspapers and magazines. He always keeps an eye on the increasing reach of specialty-coffee culture and the trends and life stories that emerge from this phenomenon.
À Strasbourg, une entreprise familiale résiste aux géants du marché du café en misant sur le haut de gamme, le bio et le commerce équitable ♻.
Une sélection de terroirs pour une traçabilité totale, une torréfaction artisanale pour des cafés en grains, en capsules, 100% made in Alsace, made in France.
Le Monte de Oro est un mélange d’Arabicas Caturra et Bourbon, poussant à 1600m d’altitude dans la région d’Antigua au Guatemala. Marion Ricardo Alarcon Melendez met au coeur de sa plantation tout son savoir-faire transmis de génération en génération. Un grand café de qualité, naturellement sucré.
Le Brésil fait bouger le mélange Saveur Italienne de Cafés Reck, un café associant la délicatesse des arabicas fins à une torréfaction un peu plus poussée…
En grains, moulu ou en capsules le Saveur Italienne garde ses notes chocolatées.
Compacte et légère, la Minipresso se glisse dans votre sac. Sans effort, elle vous aide à préparer, à tout moment de la journée, d’incroyables expressos en capsule riches d’une mousse onctueuse et aux goûts intenses. Avec la Minipresso NS, profitez de votre plaisir quotidien loin de chez vous, en toute facilité.
La Minipresso NS a été développée spécialement pour l’usage de capsules compatibles Nespresso® *. Vous êtes ainsi sûr de déguster votre Café Reck, riche et onctueux, à chaque préparation.
La Minipresso NS est votre meilleur choix pour profiter rapidement de délicieux expressos de 45 ml à la maison, au bureau et en voyage.
La Minipresso NS est très simple et intuitive à utiliser.
1) Placer une capsule compatible dans le porte capsule.
2)Ajoutez de l’eau très chaude dans le réservoir d’eau et déverrouiller le piston de sa position de transport.
3)Pompez plusieurs fois pour pressuriser et extraire le café.
Bonne dégustation de vos capsules Reck dans la machine Wacaco®
* Nespresso® et Wacaco Company Limited® sont des marques tierces qui n’ont aucun lien avec Cafés Reck.
Eh ben parce que je restais pensive devant la machine à café, j’ai décidé de savoir ce qu’il y avait exactement dans ce que je commande. Normalement dans le monde entier ce sont les les mêmes recettes.