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Les Capsules de Cafés Reck , des capsules made in France…

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Les capsules Reck , les capsules de grande qualité, les capsules des connaisseurs…

Si le grain de café vient de l’autre bout du monde, la traçabilité, le circuit court de l’ensemble de nos emballages, ainsi que l’éco responsabilité avec une gestion responsable des forêts, sont notre priorité pour des capsules Made in Alsace.
Des capsules innovantes et étanches à l’air évitant le suremballage individuel tout en préservant la fraîcheur et la qualité des arômes de vos cafés.

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Venez dans nos boutiques goûter nos capsules de micro-lots, de cafés de terroir, d’assemblages gourmands, de cafés bio, birdfriendly…
8, rue de la mésange 67000 Strasbourg
24, rue de la Rochelle 67100 Strasbourg
114, route de Bischwiller 67300 Schiltigheim
ou sur notre E- Boutique http://www.reck.fr/173186-capsules

Les Cafés Reck s’encapsulent..

Cafés Reck… Les cafés connectés

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Entreprises – Les marques anciennes se convertissent au numérique Cafés connectés !

Mobiliser les nouvelles technologies à toutes les étapes de la production et de la commercialisation : c’est le pari de Thomas Riegert, gérant des Cafés Reck, à Strasbourg. Pour lui, le café connecté est un enjeu vital dans un monde hyperconcurrentiel.

Thomas Riegert, gérant des Cafés Reck, dans sa nouvelle usine connectée, au Port du Rhin à Strasbourg.  PHOTO DNA - Laurent RéaThomas Riegert, gérant des Cafés Reck, dans sa nouvelle usine connectée, au Port du Rhin à Strasbourg. PHOTO DNA – Laurent Réa

On le sent bien, dans l’énergie déployée pour convaincre, dans les grands gestes qui soulignent les explications, dans cette manière de prendre son interlocuteur à témoin puis de lui mettre dans les bras un paquet de café comme ultime argument : Thomas Riegert joue une partie importante, pour lui, pour son entreprise. L’avenir des Cafés Reck est en jeu. Et comme il est le gérant de la société, il est aussi le maître de la partie.

Il parle vite, beaucoup, avec passion, de son métier qu’il connaît sur le bout des doigts, de la production du grain à l’art subtil de la torréfaction et des mélanges. Et si l’on peine à le suivre, une évidence s’impose très vite : il a un projet longuement mûri, qu’il décline d’étape en étape, avec l’impatience d’un enfant qu’il n’est plus. Il a 45 ans aujourd’hui.

Sa conviction : le numérique permettra de garantir la pérennité de l’activité, de la maintenir et de la développer ici en Alsace, dans un secteur particulièrement exposé à la concurrence et, évidemment, à la mondialisation.

Il n’est pas certain que Thomas Riegert ait eu le temps, ou pris le temps, de lire les nombreux récents rapports qui détaillent les enjeux du numérique. Pourtant, depuis quelques années, il déploie un projet qui reprend point par point les préconisations des experts.

Une myriade de capteurs qui permettent de piloter la production

Les nouvelles technologies ouvrent de nouvelles perspectives dans l’optimisation et l’automatisation de la production. La toute nouvelle usine des Cafés Reck (2 000 m² et trois millions d’euros d’investissement), inaugurée en 2013 au Port du Rhin à Strasbourg, peut être pilotée par une seule personne, même si le choix a été fait, par exemple, d’un emballage à la main, en bout de chaîne. Une myriade de capteurs suivent les différentes étapes de la production, les écrans tactiles et les écrans d’ordinateur jalonnent l’usine ; 110 courbes de torréfaction ont été élaborées, elles modélisent la fabrication des cafés. Une partie de la maintenance de la chaîne de torréfaction peut se faire à distance, depuis l’Italie, où est installé le constructeur. Pour aller au bout de cette intégration, il faudrait cependant lever un obstacle : « Nous n’avons pas accès ici au très haut débit », fulmine Thomas Riegert, sauf à recourir à une solution dédiée à l’entreprise, proposée par les opérateurs et jugée trop chère.

Une démarche collaborative avec le consommateur

Les nouvelles technologies multiplient les canaux des échanges avec les clients.

Les réseaux sociaux permettent un dialogue direct avec le consommateur, qu’il est possible d’associer désormais à l’élaboration des produits mis sur le marché (lire ci-contre). Mais Thomas Riegert s’est attaché aussi, avec l’agence strasbourgeoise The Big Family, à créer une plateforme qui change la donne dans les relations aux clients : mycafe.fr , qui propose une production sur mesure, à la demande.

Dans le détail, c’est assez ingénieux : l’hôtelier ou le restaurateur qui a créé son compte sur la plateforme mycafe.fr (active depuis avril 2015) peut créer ses blends (mélanges), choisir sa courbe de torréfaction (claire, moyenne ou sombre), personnaliser l’emballage (jusqu’à l’étiquette). « Cet assemblage sur mesure s’adresse aux grands chefs, aux artisans de la gastronomie, à l’épicerie fine… », détaille Thomas Riegert. Du clic du client à la production du café, tout est interconnecté. Pour l’instant, cette production personnalisée est possible pour des commandes de 5 kilos et plus.

Le numérique, c’est aussi la mutualisation. Avec une quinzaine de professionnels, Thomas Riegert a créé la Compagnie des torréfacteurs. Son usine, à Strasbourg, dispose des locaux nécessaires pour accueillir les collègues de ce réseau, pour partager une expertise, pour partager l’outil de production ! Dans un monde qui cultive le secret de fabrication, c’est inédit.

Production automatisée et optimisée, usine collaborative et connectée, process interactifs. Au moment de faire l’inventaire des innovations, Thomas Riegert ajoute un dernier point : si le grain vient de l’autre bout du monde, les Cafés Reck ont recours pour le reste aux circuits courts, pour les emballages et les matières premières qui servent à la fabrication des capsules.

Reck est alsacien. Et compte bien le rester.

mycafe.fr

La Rolls des Winstub aime le café Reck… par Gilles Pudlowski

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Au Pont du Corbeau

« Strasbourg: la Rolls de la winstub »

Blog du Gilles Pudlowski et Article Les Bonnes Tables DNA Gastronomie 24 au 30 janvier 2015

Christophe Andt © GP

Christophe Andt © GP

Je vous ai dit, il y a quatre ans – eh oui, quatre ans déjà!- sur cette merveilleuse maison qui est sans doute la Rolls de la winstub. Le lieu existe depuis quelque trente six ans, animée avec maestria sans pareille par le roué Christophe Andt. Ce lutin rieur, qui est un goûteur redoutable et un gourmet sans pareil, ne sert que les plats de son coeur. Et celui, bien sûr, est enraciné au coeur de l’Alsace de ses racines. Manière de souligner que tout ce qu’il propose est frappé du sceau du régionalisme autant que de la qualité.

Sa formule du déjeuner à 13,50 € offre, à travers cinq entrées et cinq plats, une sorte de condensé du bon goût à la mode d’ici, avec ce qu’il faut de cochonnailles pour comprendre le bel esprit bucolique de la région. Terrine de jarret, tarte à la choucroute, filet de hareng matje aux pommes à l’huile,  formidable émincé de tête de cochon avec sa fine sauce gribiche moutardée y précèdent le jambon à l’os servi chaud, la choucroute garnie, les fleischkiechle évidemment maison, le splendide saumon (fort peu cuit, donc moelleux) poêlé sur choucroute et beurre blanc sans omettre la belle poitrine de cochon rôti aux pommes grenailles qui faisaient les délices de mon commensal Emile Jung.

Est-ce d’ailleurs un hasard si le meilleur monde de la gourmandise d’ici vient se sustenter là avec des plats qu’il ne trouve pas chez lui? Cathy Klein se régalait, là, d’une splendide tête de veau, tandis que Monique Jung se faisait plaisir avec un vrai bibelass käse à la paysanne. Je n’aurai garde d’oublier la mirobolante tarte à l’oignon, l’un des chefs d’oeuvre du genre, comme de souligner que la carte des vins fait la part belle à des crus et des domaines quasi inconnus ailleurs sur une carte des vins riche en surprises. Ainsi, le muscat d’Albert Maurer à Eichoffen, le sylvaner de Fernand Seltz à Mittelbergheim, le pinot noir de Jean-Marc Dreyer à Rosheim.

On achève sur un dessert de choix, comme avant la fondante tarte aux myrtilles, le riche – mais léger – moelleux au chocolat, le savoureux savarin au rhum sans omettre les très regressifs pot de crème aux petites confitures du jour avant un splendide café expresso de chez Reck et un marc de gewurz de chez Hagmeyer à Balbronn. Bref, avec le beau cadre boisé, peint, signé du père Waydelich et du peintre Edgar Mahler, avec ses fenêtres en culs de bouteille, qui  ne laisse filtrer qu’à peine la lumière du jour, venant des proches quais de l’Ill, on se croirait dans un film sur une winstub à Strasbourg. Mais, on l’a déjà dit, au sommet du genre!

Monique, Emile, Cathy et Christophe © GP

Monique, Emile, Cathy et Christophe © GP

Reck secoue le café…

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CAPITAL par Corentin Bainier décembre 2014IMG_1424Thomas RIEGERT, 44 ans, PDG de Cafés Reck

Pas pour rien que son café est servi sur les meilleures tables d’Alsace. La démarche de ce passionné est aux antipodes de celle des mastodontes comme Nestlé ou Kraft Foods, qui occupent 97% du marché mondial du café: « Pour nos cafés, nous prenons en compte la densité, l’humidité, l’origine du grain et appliquons des courbes de Torréfaction variables. En relation directe avec les producteurs, nous savons ce que nous proposons », explique Thomas Riegert, héritier de Cafés Reck, que détient sa famille depuis 1957. Il vient d’investir 3 millions d’Euros dans une nouvelle usine port du Rhin à Strasbourg:  » Entièrement numérique, elle est collaborative: des restaurateurs et des boutiques viennent y torréfier leur café. » Elle doit en outre permettre de produire jusqu’à 1800 Tonnes de café par an, soit trois fois plus qu’aujourd’hui.

 

Cafés Reck crée l’usine collaborative

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Cafés Reck a regroupé toutes ses activités dans un site unique au port du Rhin à Strasbourg. Ce nouvel atelier de torréfaction, qui a nécessité trois millions d’euros d’investissement, est plus qu’un simple site de production. Il a été conçu pour être une usine collaborative (retrouvez l’article d’Odile Weiss dans les DNA).

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 Le conteneur qui trône au milieu du rond-point de la route de la Rochelle annonce la couleur : Cafés Reck est désormais installé au port. Le torréfacteur alsacien, dont les activités étaient éclatées sur cinq sites de l’agglomération, a réalisé l’an dernier son objectif. Il a regroupé l’ensemble de ses opérations dans une nouvelle usine, aménagée dans les anciens locaux de la société Saplast.
« Nous étions arrivés au bout du système », explique Thomas Riegert, le président de Cafés Reck. La PME familiale spécialisée dans la fabrication de café pour la restauration hors domicile, qui connaît « une progression à deux chiffres », avait en effet besoin d’adapter son outil et de retrouver des marges de développement.

Un campus du café

Le site de 2000m2 équipé de nouvelles lignes automatisées permettra à Cafés Reck d’aller au-delà de sa production actuelle, qui est de l’ordre de 500 tonnes par an. Cet investissement de trois millions d’euros, qui s’est accompagné de la création de quatre emplois (ce qui porte l’effectif de la PME à 35 salariés) est aussi l’occasion pour Thomas Riegert d’explorer de nouvelles voies.
Le chef d’entreprise a en effet tenu à faire de sa nouvelle unité une « usine collaborative », un « laboratoire ouvert aux professionnels » qui souhaitent créer leur ligne de café.
« Ici, explique-t-il, nous faisons de la petite série, du sur-mesure » à partir de grands crus et de cafés soigneusement sélectionnés. « Nous sommes des artisans qui utilisons des méthodes industrielles et du matériel de pointe » qui permet par exemple « de millimétrer les dosages » et de « moudre à froid, afin de préserver les arômes », indique M. Riegert.
Ce parc, Cafés Reck le partage avec d’autres torréfacteurs qui veulent élaborer leurs propres recettes.
« Nous les formons à notre outil puis nous le mettons à leur disposition », précise le chef d’entreprise qui a poussé le processus jusqu’au bout. Il a en effet équipé son site de production d’un centre de formation, de bureaux, d’un studio photo et même d’un appartement réservés à ces utilisateurs occasionnels.
La Compagnie des Torréfacteurs – c’est le nom de ce nouveau concept – compte d’ores et déjà une douzaine de membres. Et ce n’est sans doute qu’un début. « Nous avons beaucoup de demandes », témoigne Thomas Riegert.
Cette nouvelle activité, qui permet à Cafés Reck d’approcher les 5 millions d’euros de chiffre d’affaires n’est sans doute pas la dernière diversification de l’entreprise. Le torréfacteur, qui alimente aujourd’hui près de 700 clients professionnels dans la région et exploite trois boutiques destinées aux particuliers (dont une aménagée dans la nouvelle usine) dispose en effet de place pour accueillir de nouvelles activités.
Thomas Riegert ne le cache pas : une réflexion sur de nouveaux produits est en cours. « Nous sommes en discussions, confirme-t-il. La suite de l’histoire n’est pas encore écrite. »

 

Une nouvelle pause café

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Le journal 20 Minutes consacre un article aux Cafés Reck dans son édition du jour, mettant en avant la notion d’Artisan Torréfacteur que Thomas Riegert transmet au travers de ses valeurs (voir l’article sur le site du 20 Minutes)

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Boisson: L’entreprise alsacienne emblématique Café Reck centralise sa production au port du Rhin

 

En Alsace, il n’est pas question que de vin et de bière. Et c’est en passionné que Thomas Riegert, PDG de Café Reck, en parle. Intarissable sur la question, il inaugure leur nouveau local situé rue de La Rochelle dans l’ancienne usine Saplast. «Il fallait centraliser la production sur un seul site. Je ne voulais pas construire une nouvelle usine mais trouver quelque chose qui existait et lui redonner vie», explique-t-il.

« Une usine collaborative »

Aussi, le PDG qui se dit artisan a conçu, non pas une usine mais « un atelier de torréfaction ». « Je voulais qu’il y ait un lien avec le passé. C’est pourquoi nous avons chiné et mis des objets personnels pour la décoration », poursuit Thomas Riegert. En témoigne non seulement la boutique ouverte au public mais aussi les bureaux ou le laboratoire. Mais la quête de l’excellence passe surtout par les 22 plantations disséminées dans 18 pays dans lesquelles il aime se rendre non seulement pour choisir le café mais aussi partager, échanger et aider les petits producteurs. « Je tiens à préserver l’expression d’un café de terroir, à sublimer le travail lié à celui des paysans. Nous avons des liens particuliers avec eux, nous voyons comment les aider et nous pouvons même signer des exclusivités pour trois ans sur des microparcelles. »

Et s’il résume « son job à sélectionner les lots et à les sublimer », Thomas Riegert n’hésite pas à partager son outil de travail avec une dizaine de petits torréfacteurs. «C’est une usine collaborative. Je fais de la microproduction et de la petite série. Il n’y a pas de secret de fabrication. C’est très enrichissant d’échanger avec d’autres torréfacteurs. Chaque café à son profil de torréfaction », ajoute-t-il.

 

 – Gilles Varela

Cafés Reck ouvre son outil de torréfaction aux grandes enseignes

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Les Echos consacre un papier à la nouvelle activité des Cafés Reck : l’ouverture de son atelier de torréfaction aux grandes enseignes (voir l’article sur le site des Echos).

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Fraîchement installé dans la zone du Port du Rhin à Strasbourg, les Cafés Reck veulent doubler de taille d’ici à 2015.

Chaînes de restaurants, de sandwicheries ou de boutiques de chocolats : ses « cibles », Thomas Riegert les énumère volontiers. Certaines sont clientes depuis peu et utilisent son atelier de torréfaction pour créer, avec l’assistance des équipes de Café Reck, leur propre gamme de cafés, à leur griffe. Pas question pourtant de comparer le dirigeant de Reck à ses confrères industriels qui torréfient sous marque de distributeur pour amortir les installations : « Je suis d’abord un artisan torréfacteur, même si j’ai recours à des process industriels pour tirer le meilleur de mes cafés », dit-il.

Chacune des 20 variétés et origines de café vert qu’il achète, il les torréfie séparément, selon des courbes de température, 27 au total, et des durées variables en fonction de différents critères, dont le taux d’humidité, l’assemblage ne se faisant qu’après-coup pour préserver chaque arôme. Et c’est ce savoir-faire que Reck entend aujourd’hui valoriser en s’appuyant sur des équipements ultramodernes susceptibles de produire jusqu’à 1.800 tonnes de café par an. Créée en 1884, cette entreprise familiale n’en est qu’à 600 tonnes, distribuées à quelque 2.500 cafetiers, hôteliers, restaurateurs et collectivités. La vente aux particuliers se fait par Internet et via la boutique Reck, au coeur de Strasbourg.

 

A LA RENCONTRE DES PLANTEURS

Depuis qu’il a racheté et complètement réaménagé les 2.900 mètres carrés de l’ancien plasturgiste Sapla, Thomas Riegert vole de ses propres ailes. S’il reste l’un des actionnaires de Café Sati, société cousine, il n’en utilise plus les équipements. Avec son nouvel outil édifié dans la zone portuaire qui représente un investissement de 3 millions d’euros, il peut répondre à tout type de demande. Un restaurateur 3 étoiles pourra créer ses propres cafés à raison de 120 kilos par an ou la chaîne internationale de boutiques franchisées aura la possibilité d’acheter plus de 300 tonnes si elle le souhaite. Et ce quel que soit le conditionnement : du paquet de 80 grammes au sac de 20 kilos. Plusieurs salons et laboratoires ont été installés pour recevoir ce type de clientèle, la conseiller et l’accompagner. la Compagnie des Torréfacteurs permet aux professionnels de concevoir son propre café, mais propose aussi au cafetier ou au commerçant de recevoir ses gros clients, former ses salariés au monde du café chez Reck ou même d’orchestrer ses relations presse. Et si, comme ses confrères, Café Reck s’approvisionne essentiellement auprès de négociants, son dirigeant entretient d’étroits contacts avec les planteurs ou les coopératives. « Chaque année, sac au dos, je sillonne au moins trois pays producteurs. Là j’ai fait le Guatemala, Panama et le Cameroun. » Loin du simple cliché marketing, l’homme est d’abord un passionné. D’ailleurs, il ne cache pas qu’il cherche à acheter, loin d’ici, quelques parcelles de plantations de cafés rares.

Christian LIENHARDT, Les Echos, 01/10/2013